Départ le dimanche 23 février au matin. Nous n'avons que 22 miles à parcourir mais les conditions de mer et le vent fort font que la navigation est pénible. Paul et Adèle ont le mal de mer.
La côte sud de Béquia est en vue. |
Un cargo échoué. Cyclone ou abus de ti'punch? |
Bequia est très différente de Canouan. De nombreux voiliers et catas de loc. s'arrêtent à Port Elizabeth pour faire leur clearance d'entrée (puis de sortie au retour) avant de filer sur les Tobago, évitant ainsi Saint-Vincent qui a une mauvaise réputation auprès des navigateurs. Ça fait pas mal de monde qui attend pour faire les formalités dans les bureaux!
Le bâtiment pour les clearances et la poste. |
Port Elizabeth est un port actif et des petits cargos font des navettes entre Saint-Vincent et Béquia. Ils déboulent dans la baie à une telle vitesse que les voiliers ont intérêt de ne pas être sur leur passage!
En ville, nous trouvons de nombreux minimarkets dont une épicerie tenue par un très vieux monsieur adorable, non loin de la boulangerie qui est près de la petite banque (leurs boutiques ne sont pas toujours très visibles!)
Le passage pour aller du ponton des restos vers la ville. Très joli mais un peu étroit
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LA rue avec échoppes et étales d'objets artisanaux. |
Une des petites échoppes de Port Elizabeth. |
Une ancienne maison créole abandonnée. |
L'intérieur de la petite église. |
Le bateau multi-services! Il y a également un petit shipchandler en ville. |
A droite, des bananes du marché à 5$EC; à gauche, celle de l'échoppe vue en photo à 3 $EC. Les locaux ont le même régime de bananes que celui de gauche pour 1$EC! No comment. |
Nous profitons de la petite plage et des rochers pour faire de la plongée mais les fonds ne sont pas intéressants (à part les serpents de mer que nous découvrons pour la 1ère fois).
Nous ne resterons à Béquia que 4 jours avant de remonter plein nord vers la Martinique puis la Guadeloupe.
Pas mal de monde au mouillage! |
Le mouillage à Port Elizabeth. |
3 commentaires:
Franchement, je ne vous envie pas du tout...on ne troquerait pour rien au monde notre temps grisâtre, nos pluies diluviennes et nos eaux glaciales pour ça! Etait-il nécessaire de faire tant de miles alors que le paradis est à côté de chez vous?? enfin presque...
Profitez-en bien, mettez vous en plein les mirettes et la boîte à souvenirs! Bravo d'avoir eu le courage de tenter cette fabuleuse aventure! On vous embrasse très fort,
Tata Nicou
Encore de beaux récits Malou, lance toi dans l'écriture d'un bouquin à ton retour.
Toujours un régal de vous lire et de suivre vos pérégrinations insulaires...
Ici il ne fait pas gris, c'est Paris quand même ...
I am joking
Clairette
Encore de beaux récits Malou, lance toi dans l'écriture d'un bouquin à ton retour.
Toujours un régal de vous lire et de suivre vos pérégrinations insulaires...
Ici il ne fait pas gris, c'est Paris quand même ...
I am joking
Clairette
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